Viols, agressions sexuelles sous hypnose : le juif d’ultra-gauche Gérard Miller jure que les shiksas étaient « consentantes »

La rédaction
Démocratie Participative
07 février 2024

Il faut se tenir à distance des juifs

C’est au tour du juif Gérard Miller d’être accusé de viol par des femmes qui surgissent de partout.

France Info :

Des nouvelles révélations à l’encontre de Gérard Miller. Dix femmes, dont trois mineures, accusent le célèbre psychanalyste de les avoir agressées sexuellement ou d’avoir eu un comportement inapproprié avec elles, entre 1995 et 2016, révèle Mediapart, mardi 6 janvier. Fin janvier, trois femmes avaient déjà accusé Gérard Miller d’agressions sexuelles et d’un viol, notamment lors de séances d’hypnose, dans le magazine Elle.

Contacté par Mediapart, Gérard Miller indique ne pas « mettre en doute un instant l’émotion, la colère et la souffrance » de ces femmes, mais il assure n’avoir « jamais contraint personne » et s’être toujours assuré de recueillir leur consentement. Il admet en revanche ne pas avoir mesuré à l’époque que la « dissymétrie » qui existait entre lui, un « homme de pouvoir », et ces femmes « plus jeunes » était « rédhibitoire ». Cela le « conduirait aujourd’hui, sans aucun doute, à agir autrement », précise-t-il à Mediapart.

Miller ne nie pas ces relations.

J’ai déjà vu ce mème quelque part

D’ordinaire, je classe ces nuées de femmes dans la catégorie des femmes faciles qui rationnalisent leur comportement de traînée pour se racheter une virginité imaginaire une fois qu’elles se sont faites plaquer. Dans l’environnement vaginocentrique actuel qui structure la culture et le discours ambiant, c’est non seulement aisément faisable, mais encouragé. Aucune garce n’est condamnée pour avoir mensongèrement accusé un homme de viol.

D’ailleurs, c’est probablement ce qui se passe avec Miller, du moins pour une large part. De nombreuses étudiantes en fac de psychologie ont certainement cherché à coucher avec ce juif dans l’espoir de monter l’échelle sociale et culturelle, notamment dans les médias. C’est un classique.

Cependant, nous avons à faire à un juif. Pire, à un psychanalyste juif, ce qui, depuis l’avènement du freudisme, est un pléonasme.

Miller est d’ailleurs un pur produit du freudo-marxisme, juif semeur de chaos depuis son engagement chez les marxistes-léninistes de la Gauche prolétarienne de Benny Lévy.

Agitateur de la révolution marxiste mondiale en 1968, Benny Lévy devient un adepte du judaïsme orthodoxe et s’établit en Palestine

C’est dans le droit fil de son adhésion à la folie destructrice du sémitisme révolutionnaire qu’il sévit dans le giron de Mélenchon.

On ne compte plus les histoires de viols impliquant des psychiatres ou psychologues juifs. En sachant que le juif Miller a, de son propre aveu, recours à l’hypnose, il est certain que certaines shiksas se sont faites violer. Grâce à un flot de paroles manipulatrices soufflées à leur oreille, le juif endormait ses victimes blanches pour ensuite les violer.

Pour le moment, ça ne se bouscule pas beaucoup pour appeler à l’exécution du suspect.

Sandrine Rousseau, d’ordinaire à l’avant-garde des meutes de féministes hystériques exigeant des lynchages, est silencieuse. Être juif et d’extrême-gauche offre une précieuse protection dans les moments difficiles.

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