Réarmement démographique : Macron glace le sang des femmes blanches

La rédaction
Démocratie Participative
18 janvier 2024

 

L’autre jour, Macron a donc pris la parole. Entre autres choses, il a parlé de la natalité française, désormais catastrophiquement basse en dépit du torrent migratoire.

Il n’a fait qu’en parler, car il n’a aucune solution. Cet homosexuel nullipare s’en fiche de toute façon.

Ceci dit, le sujet est central. C’est même le seul qui compte.

Avec sa sortie sur le « réarmement démographique », il a fait paniquer toutes les traînées. Ces bourgeoises n’ont qu’un seul objectif dans la vie : acheter des conneries en couchant avec des types tout faisant semblant de bosser en occupant des bullshit jobs.

Ce qui inclut OnlyFan.

L’idée de devoir faire un sacrifice pour quelque chose de plus grand que leur petite bulle personnelle les scandalise.

Ces réactions terrifiées sont une grande leçon de choses pour les hommes.

L’utérus des femmes est une affaire d’État sans aucune contestation possible. Le rôle de l’État est de veiller aux conditions de la perpétuation du peuple sur son territoire en neutralisant tout ce qui peut l’empêcher, à commencer par les menaces extérieures.

Sans enfants, pas de peuple, donc pas de société, d’état, d’histoire.

Le vide.

Pas de système de retraites par répartition non plus, faute d’actifs pour le financer.

Ces bourgeoises de gauche doivent baisser le masque et avouer que le bien commun leur est totalement indifférent, y compris leur sacro saint système social. La seule chose qui les intéresse est leur confort personnel, dissimulé sous un vernis féministe.

C’est cohérent avec l’immigration de remplacement plébiscitée par la gauche ovarienne comme par le patronat.

Plus le temps passe, moins il y a d’enfants et toujours davantage de vieux qui dépendant intégralement de l’État.

Un système social si énorme a besoin de ressources fiscales colossales, faute de quoi il doit emprunter la différence. La compression sur les actifs va en augmentant, ce qui comprime le revenu disponible pour les familles.

Nous approchons de ces limites. Cette année, l’État s’est davantage endetté que durant le Covid.

Même en important toujours davantage de migrants, jamais la productivité et la rentabilité ne seront au rendez-vous. C’est une illusion de boomers. L’homme blanc est l’arbre à billets, sans lui, pas d’utopie redistributrice.

Le système social est indissociable de la féminisation de la société, c’est aussi la féminisation qui le condamne. Les femmes veulent un filet de sécurité qui leur permette de corriger leurs mauvais choix reproductifs ou non-reproductifs. Son développement est parallèle à l’apparition du droit de vote des femmes durant la première moitié du 20e siècle. Avec ce droit de vote, viennent les lois féministes qui font dégénérer la natalité sans lequel le système ne peut pas durer.

Il faut donc une natalité blanche qui fournisse les actifs dont il a besoin, mais c’est impossible dans ce système vaginocentrique qui produit structurellement de la dénatalité et un vieillissement massif.

Le crash est inévitable et avec lui viendront de nouveaux comportements. C’est la fin de l’état-providence tel qu’il a été conçu et avec lui doit disparaître sa culture démocratique du fric gratuit.

Ce sera un séisme culturel inédit. On ne s’en rend plus compte, mais tout est payé par l’État, directement ou indirectement, ce qui produit des irresponsables par millions.

Si demain je brûle l’abribus en bas de chez vous, vous vous en ficherez parce que vous ne le payez pas de votre poche personnellement. Mais si je fais voter une loi qui oblige les habitants d’une rue à payer son équipement et son entretien, vous surveillerez votre rue avec un fusil le soir pour ne pas recevoir une facture.

Faites ça partout et la pression contre les comportements individuels antisociaux explose.

Les gens vont devoir se prendre en mains pour assurer leur avenir, ce qui favorisera l’apparition de cellules organiques intermédiaires entre l’État dysfonctionnel et l’individu. La famille élargie, le clan seront plus utiles que la police ou la CAF. Avec ce retour viendra la fin du féminisme et plus largement de l’individualisme.

Les femmes vont inévitablement baisser d’un ton dans une société balkanisée, violente, où leur avenir dépendra de l’homme qui ramènera la calorie au foyer.

J’ai une théorie selon laquelle une puissante opposition sociale advient avant qu’un phénomène de grande ampleur ne se matérialise, par une sorte de télépathie collective. C’est pour ça que l’Allemagne national-socialiste a mobilisé autant d’énergie avant la catastrophe raciale, par une sorte d’instinct prémonitoire.

Pourquoi se battre si farouchement pour contre le fléau de la pollution raciale dans une Allemagne blanche à 99,9% ?

Par prémonition.

Dans le même registre, la haine des chasseurs actuelle ne correspond à aucune attitude rationnelle. Même si on évoque la mode animaliste, ça ne tient pas la route car tous les antis chasse lambdas qui ragent sur les réseaux sont d’énormes mangeurs de viande transformée et cela ne leur fait ni chaud, ni froid.

D’ailleurs on ne peut pas discerner les féministes des antis-chasse. Cette panique est une prémonition qui alerte sur la raréfaction de la calorie et avec elle, le retour du chasseur blanc.

Le chasseur blanc est terrible pour les traînées et les gens marron.

Ils le disent sur tous les toits : quand l’homme blanc était le roi de la jungle, il ne faisait pas bon être dans les parages. C’est très juste. Une fois cette société moderne dégénérative à genoux, les ajustements auront lieu et l’homme survivant sera un prédateur extraordinairement létal.

Si j’étais un noir ou un arabe, j’aurais déjà quitté l’Europe par anticipation.

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