« L’Etat, la guerre raciale et nous » (analyse)

Captain Harlock
Démocratie Participative
08 mars 2019

Le gouvernement juif d’occupation estime que le moment est venu de faire officiellement et explicitement de la police sa police.

Une police politique intégralement sémitisée qui agisse activement au profit exclusif de la domination juive et de l’idéologie juive contre les Français.

Je pense que vous l’observez tous en temps réel : le gouvernement juif ne cherche plus à camoufler le fait que l’Etat est la propriété privée de quelques factions sociales et ethniques coalisées ni que cette coalition repose sur la désignation d’un ennemi commun absolu, l’homme blanc hétérosexuel.

Pendant longtemps, les choses n’étaient pas dites en ces termes par l’ennemi. Mais elles ne l’étaient pas et ne le sont toujours pas en ces termes dans nos milieux.

Le fait que l’extrême-droite institutionnelle française récuse le paradigme racial témoigne d’une peur panique du conflit. Dans le même temps, jamais la gauche radicale n’a assumé aussi pleinement ce paradigme qui est pourtant nouveau pour elle puisque, jusqu’à présent, elle refusait toute notion essentialiste au profit du paradigme « social ».

Tous les groupes politisés qui cherchent à détourner l’attention, peu importe le motif, de ce conflit fondamental qu’est le choc ethno-racial en cours, ajoutent à la confusion au profit de l’ennemi.

Notamment les « souverainistes » qui s’acharnent à prétendre rétablir la paix civile et l’harmonie sociale en renforçant la bureaucratie étatique strictement nationale au détriment d’autres bureaucraties, essentiellement bruxelloise.

Ces souverainistes partisans de la bureaucratie nationale ne sont pas des ennemis de l’UE en termes de nature mais des concurrents précisément parce qu’ils convoitent un même marché : l’adminisration d’une plèbe désarmée.

Je dis qu’ils agissent, consciemment ou non, au profit de l’ennemi car les groupes qui attaquent l’homme blanc hétérosexuel sont conscients de la guerre qu’ils lui font sous couvert d’abstractions philosophiques ou morales – les « droits de l’homme », la « tolérance », etc. – et consacrent énormément d’énergie médiatique à feindre parler un langage universel grâce à ces concepts mous afin que l’homme blanc ne comprenne pas qu’il est spécifiquement ciblé pour ce qu’il est, physiquement.

Quand les nègres attaquent les institutions au nom de la « justice », c’est là un nom de code pour dire « revanche contre la race blanche ». Tout est implicitement tourné contre l’homme blanc.

En raison de sa tendance individualiste et égalitariste extrêmement forte, l’homme blanc, surtout en France, prête aux autres les mêmes représentations mentales que les siennes, les mêmes aspirations, les mêmes limites morales.

Ce que l’homme blanc expérimente au quotidien dans les rues de France sous l’influence de la sauvagerie allogène engendre chez lui une dissonance cognitive particulièrement stressante puisque son sens de l’équité se brise sur l’injustice raciste assumée des prédateurs non-blancs.

Par exemple, en affichant leur différentialisme culturel et religieux, les mahométans clament, au visage du Français de souche, que son système culturel ne les intéresse pas et qu’ils comptent bien le détruire et le remplacer par le leur. Dans une France engoncée dans son assimilationnisme, c’est un choc encore plus violent que dans les pays européens différentialistes. « Communautaristes » comme le disent les tenants du républicanisme laïque assimilateur.

Les antiracistes blancs tentent de corriger cette dissonance cognitive pour ne pas devenir obsolètes. Cela suppose de devenir l’avocat du parti allogène contre les Blancs. Bref, à trahir son groupe ethno-racial au profit de l’envahisseur.

Entre le mythe du bon sauvage d’un côté et la colonisation ethnique agressive de l’autre,  ils répondent par la sophistique en plaçant la responsabilité de la situation aux pieds de l’homme blanc autochtone, notamment en reprenant à leur compte quantités de fausses excuses conçues par les marxistes et recyclées par les allogènes pour légitimer leur prédation raciale : holocauste, colonisation, impérialisme post-colonial, exploitation capitaliste, racisme, etc..

C’est ce qui se passe ainsi à Grenoble où deux maghrébins assez idiots pour provoquer à de nombreuses reprises des policiers tentent de s’enfuir en scooter par l’autoroute, sans casque, afin de doubler par la droite un bus qui les écrase accidentellement.

Les afro-maghrébins exercent des représailles.

L’extrême-gauche blanche couvre le crime en travestissant celles-ci en mesure de « justice ».

L’ennemi explicite : l’Etat

La narration produite par ces groupes visent deux ennemis distincts mais tacitement unis selon eux.

Ces deux ennemis distincts sont l’ennemi explicite d’une part et l’ennemi implicite d’autre part.

L’ennemi explicite désigné, c’est la police et, par voie de conséquence, l’Etat.

Il est à noter que l’Etat bourgeois républicain éprouve de plus en plus de difficulté à exercer la violence légale élémentaire pour garantir le maintien de l’ordre établi. L’usage de la force par l’Etat devient illégitime pour de plus en plus de gens, non seulement pour l’extrême-gauche et les métèques, mais aussi, pour des parties de la droite radicale, dont nous-mêmes.

Distinguons ici la droite révolutionnaire de l’extrême-droite du système en place qui déplore généralement le manque de vigueur répressive de l’Etat bourgeois juif.

J’invite nos amis à cette occasion à distinguer entre morale et politique. La plupart de nos amis réagissent moralement et émotionnellement en exprimant leur adhésion de principe à l’ordre par leur soutien à cette police.

Il est impératif de distinguer l’ordre comme principe et l’ordre politique du moment qui peut être – et ici qui est – un facteur de désordre à nos yeux.

Le fait que notre ennemi fondamental – les émeutiers non-blancs – soient engagés contre cette police facilite généralement de telles manifestations de soutien de la part de la droite en faveur de l’ordre établi, donc de ceux qui le contrôlent de fait.

Mais cette police n’est pas notre police, c’est la police de l’Etat. Et cet état est l’instrument du gouvernement juif d’occupation et de son idéologie profonde dont je parlais en début d’article.

Comme je le disais, cette police devient de plus en plus leur police sous l’action des groupes hostiles – juifs en tête – qui la contrôlent. Y compris biologiquement par le recours à l’immigration allogène dans les rangs de la Gendarmerie et de la Police.

Comment pourrions-nous, à mesure que leur police devient toujours plus consciemment notre ennemie, c’est-à-dire l’ennemi des populations françaises de souche européenne, réagir en accroissant notre soutien à cette même police ?

Nous devons apprendre à ne pas mêler principes moraux permanents et nécessités politiques de l’heure. Être partisan de l’ordre ne signifie pas être les partisans d’une police qui protège un État qui organise l’anarchie, notamment raciale.

Nous voulons l’ordre mais notre ordre. Nous voulons une police mais notre police. C’est-à-dire qui fassent notre volonté et non celle de l’ennemi.

Partant, la légalité, une nouvelle fois, n’est pas la légitimité. Pour nous, cet état et sa police ne sont pas légitimes. Nous décrétons notre seule légitimité et cela n’est pas ouvert à la négociation.

Faire cette distinction est ce qui distingue la droite révolutionnaire blanche de l’extrême-droite institutionnelle qui se situe de fait dans le camp ennemi de par sa défense de l’ordre établi ennemi.

L’ennemi implicite : l’homme blanc

J’en viens maintenant à l’ennemi implicite désigné d’abord par les émeutiers ethniques puis par l’extrême-gauche et certains agitateurs comme Eric Drouet quoique inconsciemment.

Cet ennemi implicite, caché derrière l’ennemi explicite (la police, l’Etat), ce sont les hommes blancs hétérosexuels.

Il est intéressant de relever que pour ces groupes l’ennemi légitime est l’ennemi implicite tandis que l’ennemi légal est l’ennemi explicite. L’ennemi légitime est l’homme blanc, l’ennemi légal est l’Etat et la Police.

Ce que ces groupes ne voient pas ou ne veulent pas voir, c’est qu’il y a trois partis en France et non pas deux.

L’extrême-gauche antiblanche et les groupes raciaux hostiles voient l’Etat et sa police comme les instruments conscients mais hypocrites de la domination raciale blanche. D’où les procès constants de leur part en « racisme larvé » avec, en réaction, des émeutes raciales.

Ce n’est pas la vérité – il n’y a pas une politique raciste blanche consciemment mis en oeuvre par l’oligarchie, bien au contraire – mais c’est leur perception.

Sortir du dualisme

C’est le pendant de l’attitude de ceux des Blancs conscients de la guerre raciale en cours en France et en Occident qui soutiennent la police du système en s’en croyant les propriétaires effectifs.

Généralement parce qu’ils confondent légitime propriété et propriété légale.

Ces Français de souche, qui s’estiment seuls légitimes habitants de la France, pensent que la police étant la police légalement « française », cette police serait, malgré tout, leur police.

C’est une manifestation toxique et incapacitante de passéisme.

Ces Français non plus ne comprennent pas ou font mine de ne pas comprendre qu’il y a trois partis en France et non pas deux.

Le troisième parti, au centre, est l’Etat et les groupes d’intérêts qui le contrôlent. Concrètement, la bourgeoisie allant, en géographie politique, du centre-gauche au centre-droit dominée par la juiverie financière et insérée dans la gouvernance globale cosmopolite.

Il est incarné actuellement par Macron et son ministre de l’Intérieur Castaner mais sera, demain, incarné par un autre domestique.

Géographiquement, la disposition de ces trois partis est bien décrite par Christophe Guilluy.

L’Etat – le gouvernement juif d’occupation – se trouve dans les métropoles urbaines et leurs ramifications coloniales que sont les préfectures, les forces de police et l’administration fiscale. Sa tête est à Paris.

Le parti non-blanc, le parti étranger, le parti métèque qui se trouve essentiellement aux abords immédiats des villes grandes et moyennes.

Le parti blanc disséminé sur tout le reste du territoire, soit 90% de celui-ci.

L’Etat l’ennemi

Il est particulièrement difficile pour un Français de se dissocier de l’Etat car l’Etat, en France, a créé l’identité française historique par sa politique de centralisation séculaire, notamment linguistique.

Pour un Français, se dissocier de l’Etat, pire encore l’affronter, revient à plonger dans l’inconnu identitaire. A plus forte raison s’il est de droite, donc porté à une forme ou une autre de réflexe conservatiste, de collectivisme national et de romantisme traditionaliste et que, comme aujourd’hui, il recherche un référentiel identitaire fédérateur face à la balkanisation raciale et culturelle qu’il rencontre dans son environnement.

Le Français de gauche, tout entier porté vers un avenir radieux, du moins en théorie, ne veut pas davantage se séparer de l’Etat qu’il convoite comme son arme de spoliation ultime. Spoliation qui est la condition de cet avenir où l’égalité « réelle », condition de la « paix définitive » recherchée par les tenants du mythe de la fin de l’histoire, serait acquise.

Le Français blanc conscient de la guerre d’éradication raciale qui lui est faite n’est pas prêt, paradoxalement, à assumer la condition fondamentale du conflit qu’est la déclaration de l’Etat comme ennemi, à égalité avec l’envahisseur allogène. Il préfère actuellement nourrir des illusions et des nostalgies et rêver à un réformisme qui, évidemment, ne survient jamais.

Il faut à présent rappeler que l’Etat a mené cette politique de centralisation et de standardisation culturelle à travers les siècles pour créer une machine de guerre efficace tournée vers l’expansion territoriale.

Cette politique de mobilisation nationale totale a culminé avec le bain de sang de la Première Guerre Mondiale lors de laquelle l’état strictement national a atteint sa date de péremption avec la survenue de la guérilla mondiale qu’a déclenché la révolution bolchevique de 1918.

Après 1918, le principe même de « frontières nationales intégrales » est devenu obsolète. Le second conflit mondial sera le premier véritablement mondial au sens où la ligne de front ne connaîtra plus de frontières « nationales » mais des frontières idéologiques au sein même des états belligérants.

Sans abolir totalement le fait national, les partis communistes ont accéléré l’unification du théâtre de guerre globale et permanente avec leur slogan sans-frontiériste « Prolétaires de tous les pays, unissez-vous ! ».

Il est particulièrement révélateur que la « résistance française » gaullo-communiste a consacré plus d’énergie à remporter la guerre civile contre Vichy – donc, pour faire court, les dernières forces « de droite » françaises -, qu’à attaquer l’armée allemande.

Les fameux « collabos », jugés coupables de « trahison », ont été remplacés par des « libérateurs » portant l’uniforme américain ou zélés partisans de Moscou sans que cela ne pose problème, jusqu’à ce jour, à la narration officielle.

Les vaincus français « collaborent », les vainqueurs français « s’allient ».

Dès lors que la France a achevé son cycle expansionniste et perdu la totalité de ses conquêtes en 1962, l’Etat n’a plus eu de fonction autre qu’administrative dans un monde où le politique est assumé par des super états internationaux. Il a dû intégralement se recycler pour trouver une nouvelle fonction et légitimité dans le nouvel ordre mondial mis en place à Yalta.

Il n’est pas le seul état dans ce cas : tous les états des ex-puissances impérialistes européennes se sont retrouvés sans théâtres extérieurs de projection après leur pulvérisation en 1945 et le démantèlement de leurs empires lors de la décolonisation. Ils sont devenus de simples supplétifs du nouvel empire américain lors de la Guerre Froide.

Il est révélateur que les dernières figures strictement nationales de France soient des guerriers de la décolonisation issus du gaullisme pseudo-victorieux de 1945.

Ces soldats qui combattaient pour un état faussement national car hybride du fait de sa fusion dans une alliance internationaliste, « la France Libre », se sont eux-mêmes faits dévorer par la Cinquième République de De Gaulle pour délit de nationalisme intégral.

Ils avaient cru naïvement effacer les conséquences irréversibles de la défaite de 1940 pour découvrir qu’ils faisaient eux-mêmes partie des vaincus parce que nationaux. Ce qu’a parfaitement expliqué Maurice Bardèche dans « Nuremberg ou la Terre Promise« .

Peu après la chute de l’URSS, sans ennemi extérieur désigné, ces états post-nationaux se sont largement démilitarisés et politiquement démobilisés. L’un des piliers de l’Etat moderne issu de la révolution française, l’armée de conscription, a été abandonné.

La fonction fondamentale de l’Etat a disparu.

L’unification politique interne réalisée par l’Etat pour la guerre extérieure et l’expansion coloniale est inévitablement sujette à la déstabilisation et à la désintégration dans la mesure où, faute d’ennemis extérieurs, l’ennemi ne peut plus être qu’intérieur.

C’est ce qui explique pourquoi l’Union Européenne, essentiellement créée par le rapprochement franco-allemand après 1945 sur pression des USA pour résister à l’URSS, considère la « paix » intérieure et extérieure comme consubstantielle à son existence.

Paradoxalement, le refus dogmatique et fondamental de l’UE de désigner un ennemi extérieur – d’où son insistance à flatter le monde musulman – ne peut aboutir qu’à lui faire désigner des ennemis intérieurs comme cause de sa propre désintégration dont elle est co-responsable avec les états qui la composent.

C’est pourquoi l’Union Européenne est un échec : pour qu’elle soit unie, l’UE devrait désigner un ennemi nécessitant une telle unification des forces. Or, son principe fondateur qu’est le pacifisme anti-historique en font un objet inutile, une entité non-politique, un non-état, une supra-bureaucratie composée de toutes les sous-bureaucraties nationales.

L’Etat comme force antiblanche

Ce non-état qu’est l’UE, composée elle-même de non-états que sont les ruines des anciens empires européens, n’a pas de volonté de puissance tournée contre un ennemi extérieur.

D’abord parce que l’Europe a été vaincue militairement en 1945 par deux états qui l’ont ensuite occupée et pacifiée : les USA et l’URSS. Ce traumatisme couplé au carnage de 1914-1918, pour un continent qui a conquis le monde, a démoralisé les Européens de l’Ouest.

Ceux de l’Est, soumis à une répression anti-nationales extrêmement fortes par le bolchevisme, ont trouvé dans la contestation nationaliste clandestine un moyen d’affirmation. On le voit largement aujourd’hui, ces états refusent de capituler leurs êtres nationaux face à l’UE. Et il est, pour ces états, autrement plus facile de résister à un non-état comme l’UE qu’à un état aussi puissant et brutal que l’Union Soviétique.

La « non-politique » de l’UE – au sens où elle vise à maintenir l’Europe hors de l’histoire en refusant dogmatiquement la guerre à l’ennemi et non à l’y préparer – a cette particularité d’être menée non pas fédérativement, par adjonction des parties constituantes, mais par leur nivellement si ce n’est leur destruction.

En France, la nation a été explicitement créée contre les parties du tout. Une méthodologie appliquée par la bureaucratie centrale de l’UE qui n’est pas d’inspiration germanique mais bel et bien française.

Ce qu’un ambassadeur américain rapportait suite à une discussion avec l’ex-premier ministre français Michel Rocard :

Rocard, comme l’ancien président Valéry Giscard d’Estaing, croit que l’histoire de France fournit les clés pour comprendre la politique française. Rocard remonte à l’époque de l’émergence de l’État-nation. L’histoire des autres États-nations européens est celle de communautés linguistiques au service de leurs intérêts commerciaux. La France s’est créée par la destruction de cinq cultures — bretonne, occitane, alsacienne, corse et flamande. «Nous sommes la seule nation européenne qui soit la création militaire d’un État non homogène. C’est ce qui rend la France difficile à gouverner et explique notre difficulté à réformer, notre lenteur».

L’UE, lorsqu’elle condamne le « nationalisme » cherche en réalité à délégitimer les nations elles-mêmes. Là où l’Etat Britannique admet sans difficulté l’existence d’une nation écossaise ou galloise, il est pour l’Etat en France impossible de seulement prononcer ce mot pour la Corse.

L’UE suit la même approche car elle associe nationalité et état, sur le modèle français.  De cette interprétation découle que toute entité se proclamant comme nation revendique sa légitimité à agir politiquement, donc à faire concurrence au centre – Bruxelles – qui entend établir un monopole du politique à l’image de Paris en France.

Mais ce qui distingue la centralisation parisienne de la tentative de centralisation bruxelloise, c’est l’absence de but. Comme je l’ai dit plus haut, la centralisation de la France visait à accroître les moyens offensifs de l’Etat contre les autres états européens. La centralisation était motivée, à toutes les étapes du processus, par une claire conscience de l’objectif politique.

L’UE en revanche a été conçue, en raison du contexte géopolitique de sa formation, pour être un non-état, une zone d’armistice, une République de Weimar à l’échelle du continent européen.

Les états européens qui voudraient faire de l’UE un véritable instrument politique en désignant l’ennemi – les forces hostiles en général et l’invasion allogène et les forces globalistes anti-identitaires en particulier – se retrouvent, de manière révélatrice, seules désignées comme l’ennemi.

L’UE égalitariste, pacifiste, misérabiliste, kantienne ne retrouve un semblant d’agressivité que pour menacer les peuples qui vivent à l’intérieur de ses frontières. A contrario, l’UE se saisit de la moindre opportunité pour célébrer ce qui est extérieur, étranger.

Le dogme pacifiste, anti-historique, codifié par la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, qui sont les tables de la loi de l’Union Européenne judéo-démocratique, a intégré en profondeur l’une-et-indivisibilité de la nationalité proposée par le jacobinisme français. Mais la nationalité est désormais remplacée par l’Humanité.

La phraséologie officielle de l’Union Européenne témoigne de fait qu’elle n’est pas réaliste mais idéaliste, en fait religieuse et millénariste, prétendant incarner politiquement l’humanité en son entier et non pas seulement des peuples d’Europe particuliers.

Empêtrée dans le souvenir traumatique et incapacitant des deux conflits mondiaux, l’UE proclame l’indistinction égalitariste définitive des groupes raciaux, ethniques, religieux pour réaliser la Parousie pacifiste que son millénarisme judéo-socialiste sur fond de christianisme sécularisé lui commande de proclamer.

Ce refus de penser l’Europe dans son particularisme au profit d’une abstraction « universaliste » – non-historique, donc non politique – se traduit de manière caricaturale par le refus de la part de l’UE de désigner ses frontières naturelles. C’est explicitement pour cela qu’elle a si longtemps défendu le principe de l’adhésion de la Turquie : démontrer que l’Europe a vocation à ne pas être européenne mais une église multiraciale guidée par une idéologie juive et maçonnique avec le pathos pour seul carburant.

La culpabilité de l’homme blanc, gravée dans le marbre par les juifs lors du Procès de Nuremberg, est la clef de voûte de la légitimité de l’UE. Elle a autant besoin du mythe de l’Holocauste que l’Etat d’Israël, pour les mêmes raisons.

Au terme de cette proclamation fondamentale de la raison d’être de l’UE se trouve la délégitimation des autochtones. Leur évacuation physique de la scène de l’histoire. Leur expropriation.

Aussi grotesque que cela paraisse, les Européens sont identifiés comme les seuls véritables ennemis en puissance mais non déclarés par l’UE parce qu’ils pourraient, à tout moment, faire ressurgir l’histoire, donc le politique, c’est-à-dire le conflit, la guerre.

Nous avons là l’habillage moral et idéologique idéal pour accompagner le programme globaliste défendu par la finance juive, les bureaucraties étatiques inutiles et les oligarchies internationales qu’elles servent : le remplacement des Européens par une humanité bâtarde, avilie, sans caractère, malléable, dénuée de volonté.

Le troisième parti : le parti de l’Etat cosmopolite

L’UE est, au plan européen, l’équivalent du non-état qu’est l’Etat en France. Non-état renvoyant ici à l’état d’armistice dont nous avons parlé, celui qui est en charge de désarmer et démobiliser la population blanche afin de pacifier le territoire, préalable au projet final d’éradication de l’humanité aryenne.

Ce non-état, contrôlé par les juifs et les juifs de synthèse que sont les démocrates, utilise, comme je l’ai dit, toutes ses ressources pour détruire l’humanité particulière qu’elle domine – les peuples blancs d’Europe – au nom de l’Humanité post-raciale qu’elle veut créer sur le continent pour unir en un tout solide idéologie universaliste et biologie. Le ciment génétique de sa tyrannie.

A présent, je souhaite revenir à la désignation de l’ennemi explicite et de l’ennemi implicite par l’extrême-gauche et les masses non-blanches dont je parlais en début d’article.

Selon elles, il y a deux partis : le leur et le parti « blanc » dont l’Etat est le bras armé.

En réalité, c’est bien l’inverse : il y a trois partis dont deux d’entre eux, l’Etat et le parti allogène, sont objectivement alliés contre le troisième, le parti blanc conscient de sa situation historique en Europe.

Cette coalition tient grâce au plus petit dénominateur commun qu’est la destruction de l’homme blanc hétérosexuel, seul source possible du retour du politique – du conflit – en Europe.

Dans une guerre où trois acteurs se confrontent, émergera tôt ou tard une alliance entre deux d’entre eux pour écraser le troisième. La gouvernance cosmopolite juive est alliée avec le parti métèque contre le parti blanc, aujourd’hui désigné comme « populiste » voire nationaliste.

Cependant, en ouvrant les vannes de l’immigration non-blanche pour rendre irréversible la fin de la possibilité du conflit donc du retour de l’histoire, les démocraties juives d’Europe de l’Ouest ont commis l’erreur élémentaire des tenants de l’individualisme : prêter aux allogènes une volonté identique à la leur.

Or, ces allogènes, de par leur nature raciale, recherchent activement le conflit. Ironiquemet, c’est leur présence qui permet le retour du politique au profit de la guerre raciale qu’ils mènent.

Ce qui est au rendez-vous, ce n’est pas la lente désintégration pacifique des blocs humains d’Europe dans une marmite multiraciale pacifiée, mais une implosion de type libanaise aggravée par la dimension islamique de l’immigration extra-européenne.

L’invasion, rendue légitime par le refus de toute désignation (hypocrite) de l’ennemi a pavé la voie à l’émergence d’un nouveau conflit : le conflit racial à accent religieux.

Ce que nous voyons, avec la sémitisation de la police politique du gouvernement juif, traduit précisément l’intégration progressive, par l’Etat, de la guerre raciale en cours et du parti qu’il soutient.

Car le troisième parti, s’il prétend avoir l’initiative, ne l’a pas en réalité. La démocratie libérale juive doit se rallier au parti raciste métèque en allant au devant de ses demandes pour le canaliser afin de contenir le parti blanc.

C’est l’alliance des deux partis contre le troisième.

Mais ce faisant, il accentue la polarisation et l’effondrement du centre, le troisième parti, l’Etat, au profit des deux autres qui, à sa différence, assume la volonté de conflit.

Plus nous mènerons une guerre raciste et antisémite, plus vite s’effondrera l’Etat et avec lui la super République de Weimar qu’est l’UE.

Pour cela, la droite révolutionnaire, raciste et antisémite donc, doit se dissocier de l’Etat et revendiquer le monopole de sa légitimité.

Nous ne voulons pas la paix civile mais la guerre raciale. 

Nous ne voulons pas le salut de l’Etat mais son renversement.

Nous ne voulons pas le maintien de l’ordre juif mais son anéantissement.

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