Le juive Emma Rafowicz, nièce du porte-parole de l’armée israélienne, démasquée comme espionne de Tel Aviv au sein du Parti Socialiste

La rédaction
Démocratie Participative
23 mars 2024

 

Encore une espionne juive qui se victimise après son soutien au génocide perpétré par sa race en Palestine.

C’est que le monde (juif) est petit.

L’oncle de cette juive n’est autre que le porte-parole du génocide, le rabbi Olivier Rafowicz, qui s’invite régulièrement dans les foyers français via CNews, BFMTV, LCI.

Vous le connaissez, il explique aux goyim pourquoi il est écrit dans la Torah que leur vocation est d’être les esclaves du peuple élu.

Comme d’habitude, ces juifs se répartissent les rôles.

Pendant que tonton appelle les Français à soutenir l’expansionnisme juif au Moyen-Orient, la nièce fait mine de s’y opposer pour caresser les afro-musulmans dans le sens du poil, tout en les appelant à haïr les Blancs.

C’est beau comme de l’antique.

Le double jeu de cette clique a été dévoilé, le vietnamien Faure ne sait plus comment justifier l’opération de ses maîtres.

C’est fort logiquement dans Libération, propriété du milliardaire israélien Patrick Drahi, dirigé par un membre des services de renseignement de l’armée israélienne, Dov Alfon, que cette juive pleurniche.

Comme les juifs sont les juifs, la tribune de cette juive Rafowicz est payante. C’est-à-dire qu’il faut donner des sous à ces gens pour les entendre nous insulter.

Je ne vais pas payer pour me faire injurier par ces escrocs. D’autant que ce torchon qu’est Libération est déjà financé par les contribuables non-juifs.

Ces réactions d’orfraie sont le signe que le juif ne peut plus faire un pas sans être racialement identifié par une part conséquente de l’opinion.

Pour le juif, c’est une catastrophe. Toute sa stratégie repose sur le camouflage par mimétisme, prétendant le jour être un « Français » comme les autres, et agissant la nuit en agent fanatique de la suprématie juive.

Ces saboteurs ne peuvent pas agir en pleine lumière, d’où la crise majeure actuelle.

C’est un changement de paradigme important, prélude à une chute rapide de l’influence juive dans les affaires françaises, mais bien au delà, dans les affaires internationales. Aucune tribune dans le journal juif Libération n’empêchera les goyim de voir cette race pour ce qu’elle est.

On comprend d’autant mieux leurs appels de plus en plus désespérés à « lutter contre l’antisémitisme », c’est-à-dire à mener toujours plus d’actions de terreur contre les goyim.

Je dois dire que le rôle de LFI dans ce nouveau paradigme est une divine surprise. Rima, la pasionaria palestinienne du mouvement mélenchoniste, procède à des 7 octobre médiatiques tous les jours.

Je communie avec Rima dans une même haine sacrée pour la race juive.

C’est très clair : tant que ces juifs seront libres d’agir, ils pousseront le monde vers un ultime cataclysme mondial, bien plus destructeur que les deux précédents.

Nos différences fondamentales avec la gauche radicale ne doivent pas nous faire perdre de vue l’urgence de la situation et la nécessité absolue d’infliger une défaite décisive à la juiverie, que ce soit en Ukraine ou en Palestine, et partout dans le monde.

Nous avons besoin de clarté et cette clarté passe par le dévoilement systématique du juif international.

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