Depuis le 11 septembre 2001, il est vraiment temps de faire le point sur les guerres juives au Moyen-Orient

Captain Harlock
Démocratie Participative
09 janvier 2020

Ouais, les juifs. Encore. Toujours.

Ces derniers jours, avec la crise d’épilepsie juive qui s’est emparée de la Maison Blanche à propos de cette « menace iranienne imminente », j’ai eu la très désagréable impression de revivre la période post 11 Septembre jusqu’à la guerre d’Irak, en 2003.

J’ai vu en direct à la télévision le deuxième avion percuter la deuxième tour.

Il se trouve que j’ai déjà été en haut d’une de ces deux tours, ce qui m’a permis de mieux visualiser et ressentir les faits à l’époque.

La plupart de nos lecteurs, une part importante en tout cas, avaient à peine 5 ou 6 ans en 2001 et ils n’ont probablement aucune idée de quoi il s’agit et de ce qui s’est passé à ce moment-là.

D’autres encore n’étaient même pas nés.

Ils ne se rappellent certainement pas de l’ambiance de l’époque. Ni surtout du véritable torrent d’embrouilles qui a suivi de la part de la CIA, du FBI, de la Maison Blanche et de tous les criminels habituels qui ont ensuite poussé à l’attaque de l’Afghanistan en 2001 puis de l’Irak en 2003.

L’histoire du pantalon à une jambe

En préambule, Christian.

Peu après 2001, d’un attentat soi-disant commis à New York par des « Bédouins géniaux » d’Arabie Saoudite, les médias juifs américains ont subitement fait dévier la discussion sur Saddam Hussein, le dictateur de l’Irak qui avait toujours été armé par les américains.

Saddam était tout d’un coup dépeint comme le vrai chef d’Al Qaeda, l’organisation de Ben Laden qui venait d’apparaître dans les médias deux ans plus tôt, au moment du 11 septembre.

Tout ça était vraiment frais à l’époque et apparaissait confusément, par bribes et allégations. On ne savait vraiment pas de quoi il s’agissait et les juifs ne faisaient qu’ajouter sciemment la confusion à la confusion.

Saddam était présenté par la presse cosmopolite comme le patron du djihadisme international.

Rumsfeld, le véritable stratège de Bush en Irak en 2003, vendait pourtant des armes à Hussein lors de la guerre entre l’Iran et l’Irak (1980-1988).

Rumsfeld, à gauche, serre la main de Saddam, à droite

Avant de le faire pendre.

Comment les juifs remercient leur shabbat-goy

Il faut remonter pour commencer à y voir clair.

En 1991, l’une des deux superpuissances de la planète, l’Union Soviétique, s’est effondrée.

Les juifs et leurs fantoches américains lancèrent immédiatement la première phase du plan de conquête du Moyen-Orient grâce à la première guerre d’Irak. Toujours en 1991.

C’est là que les USA ont pu prendre militairement le contrôle de l’Arabie Saoudite en y déployant leurs bases avant de s’emparer du Koweït.

Comme d’habitude, les Américains ont justifié cette guerre par toute une série de mensonges à base de « crimes contre l’humanité » comme l’histoire bidon des couveuses renversées par les soldats de Saddam.

L’affaire, militairement, a été réglée en un mois.

Les Américains n’ont pas envahi l’Irak mais se sont solidement établis dans le Golfe.

C’est là que Bush père a évoqué le « Nouvel Ordre Mondial » que les (((USA))) allaient instaurer par la force au niveau planétaire.

Bill Clinton a été élu après Bush père pour deux mandats (1992-2000) lors desquels, sous la direction de la juive Madeleine Albright, il a placé l’Irak sous embargo et détruit la Serbie au profit des musulmans albanais.

Et puis l’Otan a commencé son expansion.

La juive Albright a d’ailleurs revendiqué la politique génocidaire juive au Moyen-Orient.

Bush II et la conspiration bougnoule mondiale

Et puis George Bush fils a été élu en 2000.

Ce que vous ignorez ou avez oublié, c’est que Bush fils n’a pas été élu. Les urnes ont été truquées, certaines finissant dans les marais de Floride, l’état dont le gouverneur à l’époque n’était autre que le frère de George Bush fils, Jeb Bush. Bush a été élu ainsi par seulement 537 voix d’avance.

Une fois Bush fils en place, le projet prévu par les juifs, notamment Paul Wolfowitz, intitulé « Projet Pour Un Nouveau Siècle Américain » a été lancé.

Ce projet est très largement documenté.

Pensé par des théoriciens juifs, il visait à l’invasion du Moyen-Orient par l’armée américaine, la destruction de tous les états de la région, le soutien aux djihadistes et aux islamistes pour y parvenir comme la CIA l’avait fait lors de la guerre d’Afghanistan (1979-1989) où elle armait le saoudien Ben Laden contre la Russie.

Sur les décombres devait trôner la théocratie juive : Israël.

Dans la documentation officielle du Projet Pour Un Nouveau Siècle Américain, on retrouve cette fameuse déclaration :

De plus, le processus de transformation, même s’il apporte un changement révolutionnaire, risque d’être long, en l’absence de quelque événement catastrophique et catalyseur — tel qu’un nouveau Pearl Harbour.

Il fallait donc un « nouveau Pearl Harbour » pour justifier cette grande campagne militaire d’inspiration hébraïque grâce au golem américain.

Dans les années 90, Ben Laden était célébré comme un héros anti-soviétique par la presse juive américaine.

C’est donc ce saoudien Ben Laden, dont la famille est directement liée à la famille Bush, qui a été accusé d’avoir perpétré l’attentat du 11 septembre 2001, prétexte au lancement du projet.

Pas étonnant donc que les agents du Mossad qui supervisaient l’opération du 11 septembre à New York – Sivan Kurzberg, Paul Kurzberg, Oded Ellner, Yaron Shimuel et Omar Marmari – aient été pris en flagrant délit en train de danser sur place une fois les tours en flammes.

Je me souviens parfaitement qu’une heure seulement après les attaques, le gros juif Alexandre Adler vociférait à la télévision française que « Ben Laden était le seul homme susceptible d’une telle attaque ».

Une heure seulement après.

« Fais-moi confiance goy, je sais qui a fait le coup »

Le 11 septembre : déniaisage express sur le problème juif

Tous ces faits dont je parle ont progressivement émergé grâce à l’internet qui décollait justement au même moment.

L’information, jusqu’ici concentrée entre les mains des conglomérats médiatiques juifs, commençait à s’horizontaliser.

Une vraie libéralisation du marché de l’information a eu lieu. Les réseaux sociaux, à partir des années 2010, ont encore accéléré ce phénomène de redistribution des cartes.

Quand les juifs ont lancé leur projet, ils n’avaient pas intégré les capacités asymétriques de l’internet.

L’internet à l’époque étant surtout un truc de jeunes, ce sont eux qui ont été moteur dans la remise en question de tous les mensonges sur le 11 septembre par la CIA et les juifs du gouvernement Bush. A tel point qu’encore aujourd’hui, les plus gros juifs de France mènent une lutte désespérée pour que les goyim ne s’y intéressent pas trop.

C’est le 11 septembre et le déniaisage massif qu’il a déclenché chez le quidam qui a contraint les juifs à lancer tous ces trucs contre « le conspirationnisme » et le « complotisme » et le délire sur le « fact checking » des grands médias pour essayer de conserver le monopole de la narration.

Et accessoirement de bannir quiconque pose problème de YouTube, Facebook, Google, etc..

Comme le juif Reichstadt qui gère un truc appelé « Conspiracy Watch », « l’observatoire du conspirationnisme », lol.

« De quel juif tu parles ? »

Plein de petits Blancs ont commencé à sortir des tas de documents après le 11 septembre et à creuser bien au delà sur les méthodes de la CIA, de l’Otan, etc..

Bref, de ne plus prendre pour argent comptant les campagnes d’intoxication de ces structures.

Ce qui aurait pris 50 ans à émerger en 1960 est sorti quasi instantanément, sortant du brouillard une génération entière.

Si bien que les « théories complotistes » ont été reconnues au plus haut niveau quelques années après les faits.

Comme le général Wesley Clark, qui avait supervisé la destruction de la Serbie qui a reconnu la véracité de ce que « les conspis » disaient.

Mais ce que reconnaissait Clark après coup, beaucoup de jeunes goyim le savaient depuis des années.

En France, en 2003, tout le monde sentait l’embrouille à propos de l’Irak. En fait, les services secrets français savaient que tout était faux. Chirac savait que tout était faux.

Sur l’opération conjointe de la CIA et du Mossad le 11 septembre 2001 et l’invasion du Moyen-Orient qui l’a suivi, tout était expliqué en clair en 2004 à la télévision d’état française avec l’accord des services secrets français.

Visionnez cette vidéo ci-dessous, tout est dit en quelques minutes sur les vrais donneurs d’ordre :

Mais le gouvernement français, tout en s’opposant à l’ONU, n’a pas osé dire l’ampleur de la conspiration juive menée sous le couvert de la CIA et de ses associés.

On se foutait des prétextes du nègre Powell à l’ONU et la France a refusé de suivre en Irak en 2003 mais la racine du problème n’a pas été traitée.

Je veux parler des juifs.

Aujourd’hui, l’époque a radicalement changé. En pire.

Quand Sarközy a gagné en 2007, la purge a commencé.

Les juifs se sont emparés de tous les médias comme du gouvernement, sans plus aucune opposition.

Aujourd’hui, plus rien ne passe à la télévision ou à la radio, placée totalement sous la coupe des juifs.

Encore en 2003, la radio française pouvait ouvertement dénoncer les mensonges américains qui servaient de prétexte à la guerre en Irak.

Plus maintenant.

Et Schlomo veut nous resservir sa pisse frelatée.

Si nos lecteurs les plus jeunes ont manqué le premier épisode de Star Wars au Moyen-Orient, ils n’ont certainement pas manqué le septième volet actuellement en préparation.

Vous n’avez peut-être pas vu le 11 septembre 2001 en direct à la télévision, ni l’invasion de l’Irak. Vous aviez peut-être 12 ans au début de la guerre de Syrie et de Libye, en 2011, et vous ne pigez rien aux dizaines de factions qui s’affrontent.

Vous pouvez revoir les épisodes précédents dont j’ai parlé mais ce que vous devez retenir, c’est que le scénariste est le même et qu’il a un nez caractéristique.

Les mêmes juifs reviennent à la charge avec les mêmes mensonges.

En 2003, Romain Goupil et Bernard-Henri Lévy vendaient la guerre d’Irak sur tous les plateaux de télévision.

Goupil expliquait que la guerre contre l’Irak était « justifiée » par le 11 septembre 2001 et qu’elle ne « mènerait pas au terrorisme ». Au contraire, cette saloperie affirmait qu’il s’agissait d’empêcher « Ben Laden et Saddam » d’opérer ensemble, Saddam étant devenu entretemps le « véritable cerveau » du 11 septembre d’après la Maison Blanche.

Et 17 ans plus tard, voilà où nous en sommes.

C’est usant.

Ce n’est plus Saddam qui a fait le 11 septembre mais Soleimani et l’Iran.

17 ans après.

Mais pas les juifs qui dansaient la farandole en regardant les tours du World Trade Center s’effondrer.

Les juifs n’essaient plus d’être crédibles.

Ils comptent uniquement sur la saturation médiatique des cerveaux des goyim et le fait accompli sur le terrain.

Vous avez des bots enjuivés qui ont le culot de revenir à la charge, 19 ans après le début de la guerre d’Afghanistan où des dizaines de soldats français sont morts, pour nous expliquer que cette fois, c’est vraiment l’occasion de libérer les Iraniennes du voile et du patriarcat chiite.

Ils répondent à la voix du maître, au doigt et à l’oeil.

Parce que voyez-vous, c’est vraiment la priorité, en 2020, en France.

 

C’est le moment d’aller pulvériser le plus grand pays du Moyen-Orient parce qu’on sait, après 20 ans passés en Afghanistan, en Irak, en Libye, en Syrie, au Mali, que c’est ce qui marche.

Cela apaise les esprits, réduit le djihadisme et empêche l’immigration musulmane de masse.

En tout cas, ça marche pour Israël.

Et puis les juifs sont toujours prêts à aider lorsqu’il s’agit d’immigration musulmane.

Une dernière guerre contre l’Iran stoppera définitivement l’immigration du Congo et même celle des roms.

Quant à la famille française, je ne vois pas comment elle n’en sortirait pas renforcée.

Faisons confiance aux juifs sur ce coup-là.

Ils savent ce qui est bon pour nous.

Et puis, entre nous, si vous refusez une guerre contre l’Iran, c’est que vous êtes musulman.