De la nécessité de lapider les femmes pro-avortement et de rétablir le patriarcat romain total

Captain Harlock
Démocratie Participative
02 septembre 2021

Trancher la tête de la méduse féministe

Comme les noirs, les arabes et les juifs, assumer les responsabilités de leurs choix constitue pour les femmes blanches une barrière psychologique infranchissable.

Elles n’y arrivent tout simplement pas.

L’avortement est le point le plus élevé de cette barrière et c’est aussi le point qui les plonge dans l’état d’hystérie le plus démonstratif.

Quelques rappels de base

Pour avorter, une femme doit d’abord être enceinte. Pour être enceinte, une femme doit avoir une relation sexuelle avec un homme qui éjacule dans son vagin, sans préservatif – je pense que vous arrivez à appréhendez ça. Une femme est parfaitement informée de ce processus biologique, notamment parce que les féministes ont exigé et obtenu des cours d’éducation sexuelle au collège lors desquels ce que je viens de décrire est expliqué très en détails à des adolescentes de douze ans afin qu’elles puissent très rapidement coucher avec de très nombreux partenaires sans avoir à assumer les conséquences de ces relations sexuelles à répétition, c’est-à-dire de tomber enceinte.

Il n’y a donc aucune zone d’ombre intentionnellement entretenue par le patriarcat systémique à propos du fait que si une femme accepte de coucher avec un homme sans préservatif, il y a une probabilité très forte pour qu’elle tombe enceinte au fil du temps.

Comme vous le savez, toujours sous l’effet du féminisme militant, il est très simple de se procurer des préservatifs ou même pour une femme de prendre la pilule contraceptive afin de ne pas tomber enceinte. Le but pratique des cours d’éducation sexuelle est d’ailleurs d’en faire la promotion.

Le résultat, à notre époque, est que les femmes peuvent avoir de très nombreuses relations sexuelles avec de très nombreux partenaires sans jamais tomber enceinte. Une femme peut théoriquement coucher de 13 ans à 45 ans sans avoir d’enfants et sans jamais avoir à se soucier d’être potentiellement enceinte si elle ne le veut pas.

Mais paradoxalement, plus les femmes blanches peuvent coucher avec n’importe qui n’importe quand, plus elles sont catégoriques sur ce point : si elles tombent enceinte, ce n’est pas de leur responsabilité et ce n’est pas lié à leur choix. Elles n’expliquent pas pourquoi elles tombent enceinte en ne voulant pas tomber enceinte, mais elles insistent sur le fait que l’avortement est « un droit » qui leur est dû parce que c’est leur « choix ».

L’infanticide de confort des puputes

Techniquement, avorter suppose de couper vivant un enfant à naître en plein de morceaux alors qu’il est censé être dans l’endroit le plus protecteur de sa vie entière. Ensuite, il est jeté dans une poubelle et sa mère peut recommencer à coucher.

Meurtre à six mois

Pour échapper à leur culpabilité et à leur sortie de l’humanité, les femmes qui font broyer vifs leurs enfants selon ce processus parlent « d’amas de cellules ». C’est l’excuse des adeptes de l’infanticide centrées sur ce qui rentre dans leurs chattes plutôt que ce sur ce qui en sort.

Cette histoire d’amas de cellules était d’ailleurs celle des marxistes à propos de l’humanité en général selon leur slogan « l’homme, c’est 80 kilos de matière pensante ».

C’est bien évidemment un sophisme d’hypocrite. Par définition, nous sommes tous un amas de cellules, peu importe notre âge.

Au bout de seulement trois semaines, le cœur de l’enfant à naître bat déjà.

Mais dans la pensée magique des femmes blanches contemporaines, un jour il y a un amas de cellules et après la date fixée par quelques centaines de députés, il y a un être humain. Les femmes pensent vraiment que quelques centaines de députés ont le pouvoir de définir l’entrée dans l’humanité.

Je ne crois pas que des députés démocrates aient un tel pouvoir sur le genre humain, en revanche je crois à l’immoralité infinie des femmes pour mentir à ce point-là si ça leur permet de jouer aux putes.

Compte tenu de ce que j’ai expliqué à propos de la contraception et du fait que les femmes sont surinformées par l’état féministe dès qu’elles ont leurs premières règles, il est pour ainsi dire impossible pour une femme de tomber enceinte contre sa volonté. D’autant qu’il existe au surplus la pilule dite du lendemain.

Dans ces conditions, l’avortement ne peut être compris que comme l’extension de la contraception classique par l’infanticide. L’infanticide de confort, en un mot.

En résumé, une femme incapable d’assumer ses choix –  en l’espèce de se faire éjaculer ou non dans le vagin sans aucun mode de contraception – veut pouvoir broyer son futur enfant pendant des mois et des mois, le temps pour elle de refaire un choix qu’elle n’a pas voulu faire avant parce qu’elle était trop occupée à se faire éjaculer dans le vagin sans contraception.

Toute la propagande pro-avortement consiste à normaliser le fait que l’infanticide est une option « morale » pour des femmes qui se font éjaculer dans le vagin sans contraception tout en étant parfaitement conscientes des conséquences biologiques.

Elles expliquent leur refus d’assumer leur choix de coucher n’importe comment avec n’importe qui en prétendant assumer leur choix sous le slogan « Mon corps, mon choix ».

D’ailleurs tout leur mouvement de femmes incapables d’assumer leur choix s’appelle « Pro-choix ».

L’infanticide est sacré pour les putes, ce qui est logique pour des putes qui ont besoin d’un vagin disponible 100% du temps

Evidemment ces traînées meurtrières uniquement centrées sur ce qui rentre dans leurs chattes se foutent totalement du droit du corps des enfants qu’elles engendrent uniquement pour les tuer.

C’est d’ailleurs le pitch schizo fondamental de l’avortement : j’ai le droit de détruire le corps des autres parce que tout le monde a le droit de disposer de son corps.

Au Texas, l’état vient de ralentir – pas supprimer, ralentir – l’avortement en mettant une limite de 6 semaines.

C’est-à-dire un mois et demi.

Si vous raisonnez logiquement, en six semaines vous savez largement ce que vous voulez sur un tel sujet – surtout que depuis des années vous avez été informé à propos du fait qu’éjaculer dans un vagin sans contraception tend statistiquement à mettre une femme enceinte.

Six semaines, ce n’est pas six heures. Ce n’est même pas six jours. Imaginez que vous ayez à penser intensivement à ce sujet ne serait-ce qu’une heure : vous avez déjà le temps d’intégrer beaucoup de paramètres. En deux jours, vous avez pour ainsi une vision complète de la situation.

Mais pas une femme blanche contemporaine. Une femme blanche contemporaine ne veut pas faire de choix en six semaines. Ni en douze semaines et pas en neuf mois. En fait, si elles le pouvaient, les femmes blanches contemporaines voudraient jamais n’avoir à assumer de choix de leur vie entière et faire payer aux autres le prix de leurs actes.

Quand finalement des hommes décident de cadrer la propension des femmes contemporaines à plonger la société dans le chaos de par leur refus d’assumer les conséquences de leurs actes, y compris en tuant leurs propres enfants, leur hystérie collective éclabousse l’univers entier.

C’est systématiquement un spectacle affreux d’hypocrisie féminine.

Regardez cet échange sous le thread Twitter entre une femme blanche contemporaine typique et un homme rationnel qui reprend les points basiques de ce que je disais plus haut sur la contraception que tout le monde apprend à l’école (sur exigence des féministes). La poufiasse abandonne très vite le terrain de la technique contraceptive pour celui de la crise émotionnelle et de la fausse indignation morale – les êtres les plus immoraux surjouent toujours leur prétention morale.

A aucun moment ce gars n’invoque le registre moral, il se contente de dire qu’il est scientifiquement impossible de tomber enceinte avec l’usage de la pilule et du préservatif, en plus de la pilule du lendemain.

Personne ne peut sérieusement affirmer que sur les plus de 200,000 avortements annuels en France, l’essentiel est le fait de pilules et de préservatifs qui déconnent.

C’est pourtant exactement le joker de cette traînée – comme de toutes les traînées.

La réaction de cette pute est justement celle d’une pute qui sent qu’elle ne peut pas embrouiller son monde jusqu’à la porte de sortie en prétendant n’être pour rien dans ses propres choix de traînée.

C’est elle, en basculant sur le registre moral de son propre chef, qui avoue sa véritable crainte : être identifiée pour la pute immorale qu’elle est par les hommes et se faire ostraciser socialement par de potentiels partenaires masculins.

Elle riposte préventivement sur le seul terrain qu’elle redoute tout en disant que ce terrain n’a aucune validité.

Trouvez-moi plus immoral que ça.

C’est pour cette raison que les hommes recherchent naturellement des femmes jeunes. Outre la beauté plastique propre à leur jeunesse, elles n’ont pas eu le temps d’avoir beaucoup de partenaires sexuels. C’est un mécanisme biologique élémentaire où l’homme cherche à avoir la femme la plus fraîche possible pour ses futurs enfants. En échange du plaisir sexuel et de la progéniture de qualité qu’une femme jeune et jolie offre à un homme, celui-ci accepte de la protéger toute sa vie durant grâce à l’institution protectrice du mariage.

C’est un contrat gagnant/gagnant normalement protégé par la loi. Mais les traînées ne veulent pas de contrat où chacun gagne en apportant quelque à la table. Elles veulent 100% des avantages du contrat : être une pute et se faire entretenir comme si vous leur deviez tout pour des mérites qu’elles ne veulent pas avoir.

Le mariage n’est pas une invention chrétienne ou religieuse. La femme est biologiquement programmée pour vivre avec un seul homme durant toute sa vie. Dès qu’elle couche avec deux hommes différents, son état émotionnel s’effondre irréversiblement et elle devient incapable de construire quelque chose de durable avec un homme.

Une femme qui épouse le seul homme avec lequel elle a couché a un taux de divorce de 5% à 5 ans.

Mais ce taux passe immédiatement à 20% si elle a couché avec deux hommes et à 30% avec trois hommes.

Ce taux de divorce explose encore davantage les années suivantes.

Les sociétés n’ont pas instauré le mariage pour des raisons religieuses mais parce que l’évolution le veut ainsi. Les religions se sont contentées de donner une justification surnaturelle à quelque chose de naturel.

Ce n’est pas un hasard si la libéralisation du marché sexuel par la contraception et l’avortement a été accompagnée par l’explosion des divorces : la matériel féminin est massivement altéré.

Ce que l’Occident judéo-féministe fait en ce moment, c’est de se révolter contre des dizaines de millénaires d’évolution en prétendant qu’il en ressortira quelque chose de bénéfique pour la société entière.

A part des taux de divorce, de concubinage précaire et de familles recomposées délirants, il n’en ressort rien si ce n’est l’effacement total du père qui est le plus souvent privé de l’éducation et de l’autorité sur ses enfants.

Et nous devons cela à une seule chose : la légalisation de la putification des femmes blanches sous la bannière du féminisme. Cette légalisation est conditionnée par le détournement de la sexualité procréative des femmes blanches pour la transformer en sexualité récréative, avec pour principal effet l’effondrement démographique des pays blancs et l’invasion de ces pays par les masses prolifiques du tiers-monde.

Le féminisme est la principale cause du génocide des populations blanches par l’anarchisme sexuel d’état instauré en Occident.

Ce n’est pas par hasard si les médias juifs insistent tellement sur cette reprogrammation des femmes pour en faire des pétasses à métèques.

Quoi de plus logique pour un système qui aboutit au Grand Remplacement que de sacraliser l’infanticide par les femmes blanches ?

Quoi de plus normal que la sainte officielle de cette sacralisation soit une juive ?

Vous vous attendiez à autre chose ?

Quand les femmes putifiées sont mises face à leur meurtrière monstruosité nihiliste, elles ne désarment pas : elles négocient.

C’est là que vous voyez toute la cruauté dont les femmes sont capables.

Typiquement, elles procèdent par la bande. Soudain, pour faire passer l’infanticide comme une lettre à la poste, toutes les femmes enceinte sont des femmes violées ou porteuses de maladies génétiques.

Je précise que je suis pour l’avortement en cas de maladie génétique. Il est cruel d’infliger une vie de souffrance à un quelqu’un qui est irrémédiablement affligé de tares sévères, sans parler du poids pour la société qu’il représente.

Mais si ces traînées se souciaient de leurs futurs enfants, elles ne disserteraient pas hypocritement sur cette question des maladies génétiques et feraient exactement ce que l’évolution leur commande de faire : se marier avec leur premier partenaire pour offrir à leurs enfants une famille solide qui les protège. Ou, plus exactement, de conditionner les relations sexuelles avec un partenaire à un mariage en bonne et due forme pour que leurs enfants naissent dans les meilleures conditions.

Je connais un nombre énorme d’hommes qui seraient prêts à patienter pendant deux ans en échange d’un tel mariage. Le mariage est l’institution qui formalise ce que commande l’évolution. C’est ce que nous avons eu pendant des millénaires et c’est ce à quoi aspirent en réalité les hommes comme les femmes quand la société est correctement régulée.

La dérégulation du marché sexuel n’a entraîné que la marginalisation d’un nombre écrasant d’entre eux au profit de 20% de baiseurs compulsifs qui endommagent le matériel féminin en ouvrant les paquets de biscuits dans le magasin pour en bouffer un ou deux avant de refoutre le paquet en rayon.

Sauf qu’une fois le paquet ouvert, il est foutu.

Ce déséquilibre n’est pas viable pour les raisons démographiques citées plus haut.

La conséquence culturelle immédiate, c’est l’attitude des femmes.

En France, la moindre 4/10 se comporte comme si elle venait de remporter le concours de Miss Univers. Elle est convaincue d’avoir le droit à un 8/10 mesurant 1 mètre 80 qui touche au moins 4,000 euros par mois et même à ce niveau-là, ce 8/10 ne sera pas à l’abri des pires comportements de pute imaginables.

Une véritable prostituée est plus respectable que les demi-putes qui ne s’assument pas comme le sont tous les femmes monstrueuses pro-avortement.

Une prostituée a au moins pour elle de ne pas prétendre être un parangon de vertu, contrairement aux traînées qui veulent le beurre et l’argent du beurre : coucher quand ça leur chante tout en se faisant passer pour des femmes morales dont la valeur est indiscutable.

La valeur d’une poufiasse pro-avortement est de très exactement zéro sur l’échelle de l’évolution.

La huitième plaie d’Egypte.

Alors ?

Alors si nous ne remettons pas de force ces traînées à leur place, d’autres hommes le feront et ces hommes seront marron et musulmans.

Vous n’avez pas à réfléchir là-dessus, c’est l’unique scénario alternatif.

La nature a horreur du vide et si ces traînées ne sont pas ramenées au gynécée par les cheveux pour y faire des enfants, les mahométans le feront à coups de fouet et de pierres.

Cela commence par arrêter de valider des putes qui revendiquent comme une vertu le fait d’être des putes et ainsi d’alimenter la spirale du chaos sexuel et racial. Votre devoir est de faire constamment honte aux putes, de leur dire à quel point elles vous sont repoussantes.  N’hésitez d’ailleurs pas à les faire se sentir en concurrence en disant tout le bien que vous pensez des femmes musulmanes voilées : l’angoisse de l’avènement de la charia sur fond de perte de valeur sexuelle aura un véritable impact psychologique sur chacune de ces traînées que vous croiserez, peu importe ce qu’elle vous répondra.

Contrairement à un homme, une femme est hyper sensible aux mots. Utilisez cette caractéristique biologique à bon escient, que ce soit pour blesser ou pour plaire.

Ensuite, c’est d’en finir avec le poison du féminisme culturel et rappeler que le projet, c’est de faire des femmes la propriété mobilière de l’homme.

Ce que vous cherchez chez la femme, c’est d’abord un excellent profil génétique. Ensuite, une femme qui comprend sa fonction fondamentale de mère et pour laquelle c’est une joie. Enfin, une compagne gentille qui tient correctement le foyer pour vous aider à affronter les combats de la vie extérieure. En échange, vous protégez votre famille peu importe ce que cela implique.

Si vous êtes un 8/10 ou un 9/10, votre fonction n’est pas de baiser compulsivement comme un nègre d’Afrique avec des dizaines de pétasses mais de trouver une femme digne de ce nom et de faire 4 ou 5 enfants avec elle pour mener victorieusement le djihad racial. Vous gaspillez votre temps, votre sperme et votre énergie à enchaîner des nanas que vous trouvez moyennes et avec lesquelles vous savez que vous ne ferez jamais rien qui soit de nature à changer pour le mieux votre vie. Et puisque vous êtes un 8/10 ou un 9/10, faites bien savoir à une 7/10 qui vous court après que vous préférez une 4/10 pro-patriarcat et anti-avortement que n’importe quelle 7/10 de la terre parce qu’une mère dure une vie entière tandis que la beauté dure au mieux la moitié d’une vie.

L’objectif final, c’est la restauration du patriarcat romain à l’état pur et rien de moins. C’est ce qu’il faut faire savoir et ce dont il faut convaincre les hommes et uniquement eux : les femmes suivront quand elles verront que la récréation est terminée. En dernière instance, un homme est physiquement plus fort qu’une femme et c’est exactement pour ça qu’ils le sont.

Une société n’est en grand que ce que la famille est en petit.

Si vous voulez une société d’ordre, c’est-à-dire une société fasciste, il vous faut une famille bâtie sur les principes fascistes. C’est-à-dire les principes de l’évolution fixés par la nature.

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