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La rédaction
Démocratie Participative
05 avril 2024
Boboland en est arrivé à un film pro-migrants par mois.
Cette motte de gelée grisâtre de Biolay est dans le casting, ce qui aggrave encore le tout.
Il y a de la musique dramatique et tout parce que sauver les bogmoules, c’est un enjeu.
Fatalement, les fascistes ont boudé ce drame social.
Oh quelle surprise😁
Seulement 4 700 personnes se sont déplacées hier pour voir #QuelquesJoursPasPlus
Pitch : un journaliste tombe sous le charme de la responsable de Solidarité Exilés et accepte d’héberger Daoud, un jeune Afghan, pour quelques jours croit-il…
Budget : 2,1M€ pic.twitter.com/VK2DtL2JHJ— Destination Ciné (@destinationcine) April 4, 2024
C’est bien, l’argent des contribuables. Ça permet d’échapper à la loi de l’offre et de la demande et de faire vivre un écosystème de bourgeois de gauche retranchés dans leur forteresse, bien à l’abri des bogmoules qu’ils aiment tant et des paysans racistes qu’ils rackettent grâce au CNC et au ministère de la Culture.
Et puis, quel grand acteur ce Biolay. J’adore les films engagés, surtout intimistes. A fortiori quand c’est bien interprété comme ici.
Les femmes profs – pléonasme – adorent aussi. Plus une femme est éduquée, plus elle est conne, mais c’est un autre sujet.
La curaille de gauche est évidemment conquise. Ses évêques recommandent chaudement cette oeuvre édifiante aux pécheurs.
La Nouvelle République est formelle.
« L’humanité », avec Daoud le bogmoule sorti de l’âge de pierre.
Vous voyez ?
Votre pognon a des vertus rédemptrices insoupçonnées. Quoique d’incorrigibles xénophobes, bornés et incultes, vos impôts rachètent vos âmes corrompues par les préjugés et l’intolérance grâce à des artistes courageux, qui défient les clichés.
Cette belle recension, parmi d’autres, est signée par le prélat Jacques Brinaire, qui est aussi un peu pédé et a une évidente part de sang sémitique. On le devine aux deux saucisses de Strasbourg qui lui servent de lèvres. Maghrébine ou juive, cela reste à définir.
Mao avait fait arrêter et déporter en camp de travail tous les intellectuels.
Tout n’est pas si mal dans le communisme, surtout la part où on donne une pelle à un artiste pour faire quelque chose de productif.
Il faut y songer.
J’y songe.
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