Avec la destruction de Notre-Dame, la haine génocidaire sémitique s’exprime plus clairement que jamais

Captain Harlock
Démocratie Participative
16 avril 2019

Nous expliquons longuement, depuis l’origine, que la guerre actuelle se livre entre deux esprits irréductiblement opposés : le sémitisme d’une part et l’aryanisme d’autre part.

L’aryanisme a le travail pour valeur fondamentale là où le sémitisme a le vol et la spéculation pour principe directeur.

Nombre de gens ont pu déceler hier, au moins confusément, des manifestations de joie à l’annonce de la destruction par l’incendie d’une part de Notre-Dame de Paris.

Les juifs, tout d’abord, qui ne se départissent jamais, à la différence des Français contemporains, de leur mémoire tribale.

Parmi plusieurs, l’un des dirigeants juifs d’Israël du mouvement de Baruch Marzel,  Otzma Yehudit (« Pouvoir juif »), héritier du rabbin Meir Kahane, avec lequel Netanyahou vient de nouer un pacte politique.

Je présume que vous ne lisez pas l’hébreu moderne.

En d’autres termes, la France de Saint Louis qui avait violemment combattu le poison que l’humanité affronte toujours, est finalement châtiée par les flammes sur les lieux, d’après ce juif, où le roi de France fit brûler des milliers d’exemplaires du talmud.

En réalité, le talmud fut brûlé en Place de Grève, de l’autre côté du Pont d’Arcole mais la proximité est bien réelle.

La cathédrale Notre Dame de Paris est le symbole incontestable de l’apogée de la grandeur française dans l’Occident chrétien et cela n’échappe pas au juif. Baruch Marzel témoigne d’une mémoire et d’une haine raciales qui traversent les siècles et même les millénaires.

Il n’est pas le seul. Si nous sommes désormais habitués à cette église catholique crépusculaire inféodée aux juifs, l’architecture médiévale dit autre chose. Et les juifs le savent.

« Peut-être que l’incendie de Notre-Dame est une petite once de karma pour l’autodafé du talmud perpétré par les Catholiques à Paris en 1242. »

Pour votre esprit, cela paraît ésotérique, distant, cocasse. Au pire, détestable.

Vous vous dites, pour nombre d’entre vous, « pourquoi parler de telles histoires vieilles de huit siècles en 2019 ?! ». Vous songez aux premiers symptômes de la folie ou d’un sectarisme folklorique.

Pour le juif réellement juif, c’est-à-dire débarrassé de la gangue d’acculturation libérale  qu’il a un temps affecté d’afficher au contact des goyim, 1242 et 2019 voisine de quelques jours.

L’individualisme exacerbé qui régit l’esprit des Français et des Occidentaux actuels les convainc de ce que leur amnésie collective maquillée en libéralisme magnanime prévaut pour tous les peuples.

Puis, soudain, au moment où la destruction de leur patrimoine ancestral leur rappelle leur héritage commun, même confusément, ils découvrent des juifs qui expriment leur colère avec la même rage que celle de leurs congénères sous le règne de Saint Louis.

Ils les voient maudire les goyim, comme possédés par le démon.

Ou rire, comme transis.

Le juif, d’Israël à la France en passant par l’Amérique, est comme excité, fiévreux à la vue de la destruction, des flammes.

Certains diront, « mais nous avons vu des juifs faire preuve de tristesse ! ».

Oui.

Mais pas pour les sentiments que prêtent nos braves Français à ces juifs.

« Notre patrimoine » ?

Lisons mieux.

Ce n’est pas du lieu saint de la Catholicité martiale luttant, sous la direction de Saint Louis, contre la synagogue et la mosquée dont parle Lévy.

C’est la « Résistance » des gaullo-communistes de 1944 mais aussi de l’athéisme de l’homosexuel marxiste Aragon.

Une fois que nous avons lu Lévy, allons lire le Grand Orient de France, ennemi séculaire déclaré de ce que représentait, précisément, Notre-Dame de Paris.

Grand Orient de France :

Le Grand Orient de France tient à faire part de son immense chagrin devant l’incendie qui a ravagé Notre Dame. C’est une épreuve pour les chrétiens, un grand malheur pour toute l’humanité.

Notre Dame est si étroitement associée à notre histoire, la nation entière s’y est si souvent rassemblée dans tous les grands évènements qu’elle a traversés, qu’elle est devenue un symbole national. Victor Hugo a élevé autour d’elle une cathédrale de poésie et aujourd’hui, Celui qui croyait au ciel et Celui qui n’y croyait pas, partagent la même émotion et se retrouvent dans le même recueillement, qui est universel.

De Lévy au GODF, on ne retient qu’une chose : la Rose et le Réséda et l’évocation du « maçon ».

Et si cela ne suffit pas, demandons à un membre de cette maçonnerie si liée aux juifs ce qu’il a en dire.

Notre-Dame c’est, dixit le frère Mélenchon, « le droit d’asile », un lieu où se rassemblent les gens « quelque soit leur foi » mais aussi l’endroit où a été célébrée « la libération ».

Voilà une convergence de l’esprit admirable.

Cette cathédrale, à en croire les figures juives et leurs compagnons de route, tient davantage d’un temple de la judéo-maçonnerie que de l’épicentre de l’antique France catholique.

Au même moment et plus sûrement encore, avant ces juifs, avez-vous vu les mahométans ne pas cacher leur joie devant cet anéantissement.

Vous voyez ici se déployer une mémoire homogène vindicative qui n’est pas votre mémoire.

Cette mémoire qui exprime tantôt, chez les tenants sémites du monothéisme désertique le plus strict, la soif de destruction de ce qui lui est étranger, tantôt l’appropriation du nomade qui avance sous le masque de la démocratie cosmopolite.

Dans les deux cas, l’esprit du sémitisme souffle sur les bords de Seine depuis les plaines brûlées de Palestine.

Jamais, il ne s’agit de la mémoire de ceux qui ont bâti cette cathédrale ni, d’ailleurs, les autres.

Il ne s’agit pas de l’esprit des bâtisseurs de Notre Dame de Paris, de l’esprit aryen dont a procédé l’élévation de ces pierres. Cet esprit qui a disparu de l’Etat, lequel n’est plus qu’une monstrueuse créature affligée des plaies du sémitisme.

Mais toujours cette haine exprime une opposition radicale à l’aryanité, créatrice et sédentaire. Celle qui tire du sol où elle vit le matériau qui permet à son génie de transfigurer la réalité.

Nombreux sont ceux des Français et même des autres Blancs qui, face à ces réactions, parlent d’hostilité culturelle que l’on pourrait, peut-être, ajuster un jour.

Savent-ils seulement ce qu’est la culture ?

Pourquoi aimer ces pierres si l’on n’aime pas les hommes qui les ont façonnées ? Ces hommes qui sont de votre sang et qui vous disent, à un millénaire de distance, que l’esprit qui a taillé ces pierres a jailli du sang qu’ils vous ont transmis.

Ces pierres n’ont aucune valeur en elles-mêmes : elles ne sont que le miroir matériel de l’action de votre âme raciale à travers les âges, projetée sur le monde génération après génération. Le génie de vos pères qui s’exprime dans une langue identique à la vôtre, d’action et de chair, pour peu que vous ouvriez votre esprit à votre plus longue mémoire, pour peu que vous sachiez vous ouvrir à vous-mêmes et décidiez de laisser s’exprimer cette langue.

Inversement, comment des hommes d’un sang étranger, méconnaissant tout du travail, de la souffrance et de la chair de vos pères, pourraient-ils aimer ces pierres puisqu’ils haïssent le visage du sang de ceux qui les ont taillé ?

La haine des sémites qui s’expriment ouvertement est plus authentique, plus vraie que le langage perfide de ceux d’entre eux qui font mine d’aimer ces blocs de pierre mais qui haïssent, en réalité, la race de leurs tailleurs.

Ce n’est pas de l’amour mais le vol excité par la jalousie dissimulé sous le mensonge.

Ils veulent anéantir votre sang et votre lignée

Ce qu’expriment ces sémites, ce qu’ils veulent, ce n’est pas de détruire les pierres.

C’est de détruire le sang qui pose sa marque sur ces pierres et qui excite la haine destructrice de l’esprit sémitique.

Vous détruire physiquement mais plus encore, détruire vos enfants, c’est-à-dire la capacité pour l’esprit aryen de continuer à façonner le monde pour les millénaires à venir.

D’exister.

Tel est, en totalité, l’effort vers lequel tend le sémitisme.

Ce qui importe, ce n’est pas d’être les propriétaires d’un temple, mais de rester le propriétaire vivant de la source d’où coule ce qui crée : le sang.

Ce qui passe par l’écrasement de ceux qui veulent détruire ce sang.

Une France sémitisée et biologiquement altérée par le sang nègre ne produira plus rien réaliser de grand. Ni aucun état aryen qui échoue à se prémunir du sémitisme. Vénérer les pierres, c’est ne plus discerner l’esprit qui agit et qui seul importe réellement.

Aryanisme contre sémitisme, culture contre sauvagerie, création contre destruction.

Voilà l’affrontement que symbolise cette tornade de feu.

Au destructeur sémite doit répondre le feu du bâtisseur aryen.

Telle est notre exacte situation, la ligne de front sur laquelle nous sommes tous, nous, les porteurs du sang aryen venu du grand nord glacé.

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