Antran (Vienne) : un routier « roumain » échoue de peu à kidnapper un enfant de 5 ans

La rédaction
Démocratie Participative
04 avril 2024

Depuis le Moyen Âge les juifs se servent des tziganes pour leurs basses besognes. Cette coopération se poursuit jusqu’à ce jour.

Alouette.fr :

Il aura fallu une vigilance accrue de l’une des employées d’une aire de repos à Antran dans la Vienne, afin d’éviter un kidnapping. Dimanche 31 mars, un routier roumain de 47 ans a en effet tenté de convaincre un enfant de cinq ans de le suivre dans son camion garé plus loin. Le petit garçon accompagnait le groupe de son grand frère qui revenait d’un match de foot en région parisienne avec une quinzaine d’accompagnateurs.

Après avoir tenté à plusieurs reprises d’approcher l’enfant dans la supérette de l’aire de repos, le suspect a, dans un premier temps, réussi à convaincre le jeune garçon de le suivre. La scène n’a pas échappé à l’une des employées de l’aire de repos, cette dernière est immédiatement intervenue et a contacté les forces de l’ordre.

Le suspect, ivre au moment des faits, a affirmé aux gendarmes avoir uniquement voulu « donner des bonbons » à l’enfant. Pourtant, après vérification, le camion du suspect ne comprenait pas la moindre trace de sucrerie.

Avec tous les éléments de l’enquête, menée aussitôt l’homme arrêté, le routier a été condamné à un an de prison ferme et écroué avec effet immédiat. Il a en outre écopé d’une interdiction de territoire français de 10 ans.

Comme il n’y a plus de frontières en France, il reviendra rapidement. Si toutefois il est seulement expulsé en premier lieu.

Les tziganes sont une race aussi maudite que maléfique.

Gardez-vous bien de jamais laisser un seul de ces oiseaux de malheur approcher de votre domicile.

Que ce soit pour dépecer l’enfant et vendre ses organes en Israël, le prostituer ou encore le livrer à un riche couple de sodomites accessoirement pédophiles, cet enfant a échappé de peu à une fin atroce.

Un état normal aurait procédé à l’exécution publique du tzigane après l’avoir passé à la roue.

Hélas, la France étant aux mains des juifs et les juifs prenant grand soin de protéger les roms, le voleur d’enfants pourra s’envoler.

L’impunité de la vermine tzigane est politique d’état en France depuis 1944.

À nouveau, nous devons nous reporter à la politique clairvoyante de l’Allemagne nationale-socialiste qui, là comme ailleurs, a pris le problème à bras-le-corps.

Le Reichsführer SS Heinrich Himmler, en charge de l’ordre public, signa un décret entré en vigueur le 1er mars 1939 à propos du fléau tzigane :

L’expérience acquise dans la lutte contre la nuisance tsigane et les connaissances tirées de la recherche raciale et biologique ont montré que la bonne méthode pour s’attaquer au problème tsigane (rom) semble être de le traiter comme une question de race.

L’expérience montre que les métis de Tziganes jouent le rôle le plus important dans la criminalité des Tziganes (Roms). D’autre part, il a été démontré que les efforts de sédentarisation des Tziganes ont été infructueux, surtout dans le cas des Tziganes purs, en raison de leur forte tendance à l’errance. Il est donc devenu nécessaire de faire une distinction entre les Tziganes purs et les métis de Tziganes dans la solution finale de la question tzigane (Rom).

A cette fin, il est nécessaire d’établir l’origine raciale de chaque Tzigane (Rom) vivant en Allemagne et de chaque vagabond menant une existence de type tzigane.

Je décrète donc que tous les Tziganes sédentaires et non sédentaires, ainsi que tous les vagabonds menant une existence de type tzigane, doivent être enregistrés auprès de l’Office de la police criminelle du Reich – L’Office central du Reich pour la lutte contre les nuisances tziganes (Roms).

Les autorités de police signaleront (par l’intermédiaire des bureaux de police criminelle compétents et des bureaux locaux) à l’Office de police criminelle du Reich – Office central du Reich pour la lutte contre les nuisances tziganes (Roms) toutes les personnes qui, en raison de leur aspect et de leur apparence, de leurs coutumes ou de leurs habitudes, doivent être considérées comme des Tziganes ou des métis de Tziganes.

Les instructions relatives à l’exécution de ce décret, publiées par la police criminelle le 1er mars 1939, indiquaient que la « base juridique nécessaire » à la prévention du « métissage racial » et à la réglementation générale du mode de vie des Tziganes ne pouvait être établie qu’au moyen d’une « loi sur les Tziganes (Roms) » complète. L’imminence d’une telle loi a été annoncée à plusieurs reprises, mais aucune n’a jamais été promulguée.

Le traitement de la question des Tziganes (Roms) fait partie de la tâche national-socialiste de régénération nationale. Une solution ne peut être trouvée que si les perspectives philosophiques du national-socialisme sont respectées. Bien que le principe selon lequel la nation allemande respecte l’identité nationale des peuples étrangers soit également appliqué dans la lutte contre la nuisance tzigane, les mesures prises par l’État pour défendre l’homogénéité de la nation allemande doivent avoir pour but de séparer physiquement les Tsiganes de la nation allemande, d’empêcher le métissage et enfin de réglementer le mode de vie des Tziganes (Roms) purs et partiels. La base juridique nécessaire ne peut être créée que par une loi sur les Tziganes (Roms) (Roma), qui empêche tout nouveau mélange de sang et qui règle toutes les questions les plus urgentes liées à l’existence des Tziganes dans l’espace vital de la nation allemande.

La question tzigane est bien sûr une question raciale, où plus exactement d’inégalité raciale. Ce fragment de race nomade venue des confins de l’Inde partage avec les juifs l’impossibilité de la sédentarité et le recours au pillage parasitaire. Ces deux races se complètent, l’une dans les hautes sphères des sociétés occidentales, l’autre au coin de leurs rues. C’est la raison du laxisme apparent des autorités démocratiques à l’égard de la race tzigane.

Seul le racisme éclairé associé une politique ségrégationniste peut résoudre ce fléau qui prospère à l’ombre de la démocratie.

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